Stefano peste. Lui qui n’était jamais malade en Suisse se fait un rhume tous les 3 ou 4 mois, la faute à cette put§#@in de clim.
Bon, ils ne sont pas bien méchants mais le nez qui coule avec un petit mal de crâne ce n’est jamais très agréable.
Histoire de combattre le mal par le mal, nous décidons de partir faire une chtite virée à vélo. En plus, ça fait très longtemps que nous n’avons pas chevauché nos fidèles destriers.
Nous nous sommes garés près de la 6 et remontons au nord sur la digue sans fin.
Il a fait très beau cette semaine et le niveau de l’eau a bien baissé.
Avec un peu de chance, le Barker Clodine trail sera au sec. Par contre, nous avons délaissé d’entrée le Noble Trail, certains de le trouver inondé et boueux, et donc impraticable.
Nous nous arrêtons au Sergeant J.R. Hatch Park Volleyball Court, notre spot habituel pour les pauses techniques et gastronomomiques.
Nos prévisions sont correctes. Le trail est au sec, mais l’eau qui le lèche et les débris qui l’encombrent encore nous laissent penser que c’est tout récent.
Pas de vent aujourd’hui et la chaleur est raisonnable. Du pur bonheur !
Le Buffalo Bayou, sur le petit pont de fer, près des terrains de foot (Fun Fair and Positive Soccer).
Nous traversons Westheimer et arrivons à Freedom park.
C’est fou ce que le bout de piste cimentée semble plus court à vélo qu’à pied ! Et évidemment, aujourd’hui, il y a des lapins ! Mais nous n’avons pas d’appareils photo (enfin, dignes de ce nom).
Le bayou, vu du petit pont de fer (non, ce n’est pas le même qu’avant). Ce petit point noir, sur la droite, c’est Hector-Victor, l’alligator au prénom composé.
Nous partons en direction de Cinco Ranch.
Le tronc d’arbre que nous avions placé au-dessus d’un ruisseau la semaine passée est toujours là et c’est bien. Nous pouvons traverser au sec.
C’est la journée idéale pour faire du vélo.
Les tracteurs ont été un peu fainéants et l’herbe est haute.
Nous passons Cinco Ranch. Les travaux n’ont guère avancé depuis le weekend passé. Nous empruntons un petit bout de la S Mason Road pour rejoindre la digue sans fin et boucler ainsi la boucle.
Là aussi, les tracteurs ont oublié de venir faire un tour.
Nous roulons dans des herbes et roseaux suffisamment hauts pour que certains viennent nous caresser le visage.
C’est en fait très drôle.
Arrivés au bout de la digue sans fin (nous décrétons qu’elle s’arrête là) nous allons saluer le petit lac…
… avant de rentrer.
Autoportraits du jour
Si si, il y a en eu un, même si Stefano a l’air vraiment … gavé ! Il est pas mignon comme ça ? 😉
