Nous nous garons aux terrains de foot sur Westheimer, vers 13h.
Nous avons garé la voiture à une extrémité du parking, sous un arbre, à l’ombre. Au moins, lorsque nous y reviendrons, ce ne sera pas la fournaise. Nous nous préparons à l’ombre. Une petite brise fait bruisser les feuilles. Hum, c’est bon.
Lorsque nous sortons de l’ombre et entamons la balade du jour sur le goudron surchauffé, nous nous regardons et pensons en même temps la même chose : holly guacamole, qu’il fait chaud !
Nous avons choisi les terrains de foot car le bayou y est proche. Effectivement, quelques centaines de mètres, un petit pont de fer à traverser et nous y sommes.
Petit pont de fer que voici d’ailleurs.
Stefano, en train de photographier la fiu-fiu du jour
Un fois le pont traversé, nous suivons la berge du bayou, berge que nous avons suivi hier en vélo d’ailleurs.
Nous faisons une pause, à l’ombre, sous le premier arbre que nous trouvons. Le tee-shirt de Stefano, en mérinos, est trempé. Nous sentons les gouttes de sueur couler sur la poitrine et sur le dos.
Le chemin sans fin.
Le niveau du bayou est très très bas. A peine un pied, je dirais.
Il y a beaucoup d’oiseaux, mais ils sont terriblement peureux… La moindre silhouette sur deux pattes qui bouge à moins de 100 mètres les fait fuir à tire d’ailes.
Arbres poilus.
Nous allons tout au bout du sentier, voir si nos amis les crocodiles sont là, mais niet. Nous faisons demi-tour et décidons de rentrer. Trop c’est trop ! Il fait vraiment trop chaud.
Une croix suisse ? Non ! Nous comprenons pourquoi nous avons été maintes fois pris pour des medics lors de nos grandes vacances : ici, croix blanche sur fond rouge ou rouge sur fond blanc, c’est bonnet blanc ou blanc bonnet !
Flore du jour
Regardez-là bien, c’est la seule du jour…