Hier c’était la 6, aujourd’hui les terrains de baseball de Westheimer. Enfin, c’est là que nous nous étions parqués, numero uno sur le parking, jusqu’à ce qu’un cycliste vienne nous dire que la semaine passée il y a eu des smach & grab. Prudents et surtout pour éviter d’avoir la mauvaise surprise de trouver une vitre de la voiture cassée, nous allons nous garer, non loin de là, aux terrains de foot et revenons à pied.
En traversant Westheimer…
Le ciel est étonnamment bleu, sans nuage. Un bleu digne des belles journées en Utah.
Direction, le bayou !
Et son petit pont de fer… de loin…
… et de près.
Le bayou, depuis le pont.
Nous partons en direction de Cinco Ranch (qui est loin quand même !)
Nous dépassons un quad, arrêté sous un arbre, et chevauché par un policier. Nous l’avons vu passer de l’autre côté du bayou. Nous engageons la conversation. Il s’assure que les bords du bayou ne soient pas fréquentés par des véhicules à moteur, motos ou quad. Il est cool. Il connait bien le coin. Nous parlons de la faune du bayou, de la femelle alligator qui habite dans la mare à quelques mètres de nous. Il nous explique pourquoi nous ne voyons plus de crocodiles : ils ont délaissé le bayou pour des mares où ils passent leur journée enfouis dans la boue pour cause de chaleur. Il nous enjoint d’être prudents à cause des serpents.
Au passage, lors d’une pause technique, des libellules vert-pomme volettent autour de nous.
Nous continuons notre balade.
Je vous promets que l’eau est verte comme ça !
Peut-être est-ce à cause de l’absence de ces gros cumulus mais il nous semble que l’air est un peu plus sec et donc la chaleur un peu plus (mais juste un peu) supportable.
Aujourd’hui, l’air est pur et la lumière est très très belle !
Léon, le papillon.
Le chantier de Cinco Ranch. We are not out of the woods!
C’est le coin des hérons et autre ibis. Impossible de les approcher à pied. Par contre, nous avons pu constater que lorsque nous sommes à vélo, ils sont bien moins farouches.
Merci au super objectif de Stefano !
Le bayou, juste après le sentier qui remonte vers la digue. Nous n’y sommes même pas allés voir s’il y avait des fleurs.
Bulle, la libellule.
Serrage de chaussures sur le petit pont en ciment… Les petits doigts de pied de Stefano lui font des misères. Y’en a un qui n’est plus un doigt de pied mais une grosse ampoule !
Moi, j’aime !
Simon, le héron.
C’est un great blue heron, si si ! La preuve :
Autoportraits du jour
Ce n’est de loin pas notre meilleur autoportrait mais il a le mérite d’exister !