Lors de nos dernières balades, nous avons pu constater que les berges des bayous sont désormais sèches.
C’est donc le moment de reprendre nos vélos.
A ma demande, nous nous parquons sur la 8, au départ de Terry Hershey Trail, histoire que j’ai le temps de chauffer mes gambettes.
Nous suivons le sentier jusqu’à S. Dairy Ashford puis passons sur sa rive sud.
Elridge Parkway.
Nous arrivons à George Bush Park bien échauffés, ce qui nous permet de passer aisément les petites montées sèches et assassines du trail qui longe le sentier goudronné.
Nous roulons sur la digue sans fin que nous quittons à Baxter Clodine Trail.
Juste avant de passer la barrière qui interdit l’accès aux véhicules motorisés, nous croisons… le père et son fils (en fait le frère, un peu plus jeune, mais l’air de famille est indéniable). Il nous avoue s’être trouvé hier face au bayou et ne pas avoir pu traverser… Il nous avoue aussi que l’eau était restée dans la voiture. Damn it! Quand je vous disais que son gamin avait l’air exténué. Sa femme et le-dit gamin arrive et nous papotons un peu : lui, c’est Lincoln, elle Marie-Rose, un des frère (le plus jeune) c’est Henry et pour l’autre frère, nous n’en sommes pas certain. Peut-être Durian. A vérifier lorsque nous les croiserons à nouveau.
Barker Clodine Trail.
Un petit vent inamical me force à rouler sur le goudron, afin de pouvoir suivre le rythme de Stefano.
Nous passons le parking (il n’a pas de nom ce parking ! sorry) et continuons vers l’Ouest…
… pour longer le bayou dont l’eau, étonnamment, est verte.
Nous faisons notre pause habituelle aux terrains de foot, traversons Westheimer, et continuons sur la piste, près des terrains de baseball.
C’est là, qu’habituellement, les lapins sont légion. Et ben aujourd’hui, que dalle !
Très déçus (en tout cas moi), nous ne passons pas le petit pont de fer mais partons en direction du Fisherman’s trail.
Nos amis les alligators sont aussi discrets que nos amis les lapins. C’est dire !
Nous traversons le bayou sur le petit pont en ciment et rejoignons le sentier sur lequel nous avions trouvé cette fameuse fleur de cactus.
Et, inévitable, nous arrivons sur la digue sans fin ! Elle est partout cette digue sans fin !
Retour sur George Bush Park et arrêt à la fontaine qui est la seule à fournir une eau sans arrière goût. Nous remplissons nos CamelBaks qui sont vides et ajoutons des électrolytes, histoire de ne pas trop épuiser nos corps de quinca. N’oublions pas que ne fait que 40°.
Retour à la voiture par les petits sentiers que j’adore (là, c’est le paradis)…
avant de rejoindre le parking par la piste goudronnée cette fois.
Autoportraits du jour
Parce qu’un billet sans autoportrait, c’est comme un steak sans moutarde !