Bon, avouons, le weekend passé a été un peu difficile pour moi. Je suis passée par de grands moments de doute. Mais maintenant c’est derrière moi. Ouf !
Nous nous garons sur la 6. La TSH mobile est de la partie.
Nous allons guigner le petit lac et comme les berges sont à sec en profitons pour en commencer le tour.
Etrange bestiole…
composé de centaines de fleurs…
Et comme tout est sec, nous faisons même le tour de second lac, celui qui est un peu plus en retrait.
Il faut chaud ! Mais vraiment chaud !
Nous rejoignons le premier lac et continuons le tour.
L’eau est claire mais a des teintes de rouille.
Plage…
Nous prenons ensuite le Noble Trail. Un tracteur est passé et a coupé l’herbe, aidant sans doute l’évaporation à faire son boulot.
Par rapport à la semaine passée, Stefano me dit que la différence est notable. Beaucoup moins d’eau. D’ailleurs, nous sommes presque au sec.
Nous croisons un père avec son fils qui nous ont dépassé un peu avant. Il nous demande de lui confirmer qu’il peut rejoindre Barker Clodine Trail un peu plus loin. Je lui assure que non, mais il ne m’écoute pas vraiment et suit son idée. Le gamin a l’air exténué et la seule chose que nous puissions faire c’est espérer qu’ils arrivent à bon port.
Barker Clodine Trail.
Green heron.
Le même, un peu ébouriffé.
Un autre héron, pour sûr, mais impossible d’être plus précise.
Barker Clodine Trail. Une véritable poubelle à ciel ouvert. Il y aurait des milliers de litres de déchet à retirer. Et quand je parle de déchets, ce ne sont pas des déchets organiques mais plutôt bouteilles en PET, en verre, objets divers et variés et une énorme quantité de balles. Oui oui des balles !
Nous nous arrêtons pour notre pause technique habituelle à Sergeant J.R. Hatch Park et partons sur la digue sans fin.
Jason, le papillon.
C’est là, de l’autre côté du bayou qu’ont dû arriver le père et son fils. Et là, pas moyen de traverser !
La digue sans fin, près de l’hôtel Mariott.
En contre-bas, près du bayou, une eau d’un vert éclatant nous attire. Nous descendons, regardant par 3 fois où nous mettons nos pieds. Les serpents, ici, ce n’est pas une légende urbaine.
Pour être vert, c’est vert !
Des libellules virevoltent. Je m’accroupis et j’attends.
Là, y’a rien. Normal… Elle s’est envolée avant que j’appuie sur le bouton, la coquine.
Là, je l’ai eue !
Nouvelle fleur ! Identification en cours.
C’est une clochette !