Arg… Le ciel est bleu bleu bleu lorsque nous quittons définitivement l’hôtel, comme pour nous narguer !
La cime des montagnes est bien nette, témoignant de l’absence du vent.
Bon, il faut définitivement que nous revenions dans le coin. D’ailleurs, nous savons déjà quand, pour avoir demandé au manager de l’hôtel quelle était la meilleure période. Septembre, nous a-t-il répondu. Septembre… 11 mois à attendre…
Notre première tâche de la journée est de trouver la déchetterie : entre les bouteilles de Blue Moon, les nombreux emballage de Clif bars et autres, nous avons un sac Migros bien rempli. Lorsque nous nous sommes renseignés auprès du manager de l’hôtel, ce dernier a haussé les épaules d’un air de dire : mais qu’est-ce que j’en sais, moi, s’il y a une déchetterie !
Un panneau, une route sans fin, et la voilà !
Tout y est, même si c’est un peu moins neat que ce que nous avons l’habitude de voir.
Notre devoir de citoyens accompli, nous nous dirigeons vers Turquoise Lake.
La cime des montagnes n’est finalement pas si nette que cela. D’ailleurs, ici, en bas, une bonne bise tente allègrement de nous congeler les oreilles.
Le Mont Elbert est magnifique.
Nous commençons un tour du lac motorisé en règle, dans le sens contraire des aiguilles d’une montre.
D’abord, le bout de lac, et sa bonde en cas de trop-plein
Puis, un peu plus loin dans notre exploration, une magnifique vue du Mount Elbert.
Ce lac a deux fonctions : une première pratique, en tant que réservoir. Une seconde ludique : en témoignent le nombre d’aires de pique-nique aménagées.
Ici, il y a même de quoi mettre les bateaux à l’eau.
Ce panorama est magnifique; dommage que d’autres aient eu la même idée que nous…
Nous jouons aux parfaits touristes, retrouvant à chaque fois avec délice la chaleur de la voiture.
Un sentier court tout autour du lac, enfin de la moitié du lac. De l’autre côté, sentier et route se confondent. C’est une partie de l’itinéraire de LA course de l’été, un truc de malade, 100 miles de trail entre 2’900 et 3’800 mètres d’altitude.
Nous voici au bout du lac, alimenté par de l’eau arrivant d’un tunnel.
Nous imaginons les rives, l’été, grouillantes de monde et apprécions encore plus la quiétude des lieux.
Avec une tâche…
… et sans la tâche !
Allez, encore un petit panorama !
Nous reprenons une dernière fois la voiture et nous dirigeons vers la métropole de Leadville…
Flore du jour
A quelques millimètres du sol, à l’abri, plein sud, une fleur fait de la résistance.
Non loin, une autre l’a imitée.
Autoportraits du jour
Sur le barrage.
Au bord du lac.