Je suis en train de prendre un bâtiment en photo lorsqu’une voix me parle… Oh, je ne l’avais pas vu ! Un charmant « petit vieux monsieur », occupé à arroser les fougères de son balcon, nous salue et pose pour la photo, avec un grand sourire.
C’est une de ces petits moments de contact humain tellement magique !
Un déclic.
Revient en mémoire une autre anecdote, un petit épisode tout aussi inattendu que précieux. Je suis à Singapour. Il pleut. J’attends que le petit bonhomme vert se montre afin de traverser une avenue encombrée de voitures. Un homme s’arrête près de moi, me prend le parapluie de la main, passe son bras sous le mien. Abrités de la pluie, nous traversons ensemble. Arrivés de l’autre côté, il me rend mon parapluie, me gratifie d’une énorme sourire et poursuit sa route. Quelques secondes mais un souvenir qui m’accompagne depuis plusieurs années. Et à chaque fois que j’y pense, je me dis qu’il y a de l’espoir pour l’humanité.
Les rues ont été nettoyées. Rien ne laisse deviner l’activité intense de la nuit précédente, ni de celle qui se prépare.
Suprise… Une porte dérobée, un petit jardin intérieur et la fraîcheur qui va avec.
Nous avions repéré cette maison hier soir. Mais sous la lumière du jour, elle a encore plus de charme…
Direction la cathédrale, Jackson Square, Decatur Street.
Cette fois il nous suffit d’attendre que le tram passe pour pouvoir nous approcher des rives du Mississippi.
Un regard à droite…
… un autre à gauche…
Un jazzman joue du saxo. Luana s’approche.
Nous avons droit à une chanson rien que pour nous, suivi d’une tentative qui reste infructueuse pour nous vendre un CD.
Le sourire du jazzman disparaît et nous filons.
Le Natchez largue les amarres.
Nous poursuivons notre promenade le long des quais et apercevons de loin une statue.
L’aurez-vous reconnue ? Oui, c’est elle, la pucelle d’Orléans.
Les canons défendent la rue.
Nous nous éloignons à nouveau du centre.
Les ruelles sont tranquilles et la rareté de parking fait que beaucoup de personnes circulent à vélo.
Car les vélos, ça se garent n’importe où… et c’est « imprunables ».
Les balcons fleuris se succèdent.
Quelques bâtisses ont même deux étages.
Celle-ci est tout simplement magnifique !
Il y a même un drapeau italien. Viva Italia !
Une école, et sa place de jeu, tout à fait dans le style de la ville et de sa culture jazzy.
Un restaurant, tout récemment rénové.
Nous nous approchons de Rempart Street.
Notre sentiment de la veille se confirme. Plus nous nous éloignons des rues où se déroulent les festivités quotidiennes, plus les maisons sont authentiques et amoureusement entretenues.
La photo qui suit résume parfaitement l’ambiance de la ville.
Cocoricoooooo !
Des escaliers escaliers extérieurs nous font deviner des terrasses, invisibles depuis la rue.
Voici encore un magnifique spécimen.
Nous sommes sur Rempart Street.
Voici le Best Western, où nous avons séjourné.
Nous longeons Louis Armstrong Park qui sera notre dernier détour avant de reprendre la route pour Houston.
A suivre